Quand je partais au bout du monde avec mon sac sur le dos, je ramassais toujours un peu de sable, je faisais sécher des fleurs dans mes carnets de voyage et je ramenais tout ça comme mon grand trésor du bout du monde, en plus ça ne en plus ça ne prenait pas de place et ça ne coûtait rien.
Alors, entre deux averses, nous avons chassé des trésors.
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